Comparaison de l'économie de fermes piscicoles à Tilapia en Côte-d'Ivoire et au Brésil (Etat du Ceará)
DOI :
https://doi.org/10.19182/bft1977.171.a19333Mots-clés
Pisciculture, Poisson (animal), Investissement, Politique, Production, Rentabilité, Juvénile, Tilapia, Station ecoforestiere, Alevin, Brésil, Côte d'Ivoire, Amérique du Sud, Afrique occidentale, AmazonieRésumé
Les retours sur investissement dans les élevages de Tilapia ont été comparés au Brésil dans des élevages privés et en Côte d'Ivoire dans un élevage public. Cette comparaison permet de proposer une politique de développement de la pisciculture. Elle est fondée sur des fermes de production économique à petite échelle, avec l'aide de fermes gouvernementales pilotes effectuant des démonstrations de production et fournissant aux fermes privées des alevins pour la semence.
La méthode de pisciculture est la culture d'hybrides mâles ou de Tilapia nilotica élevés en étangs, soit avec une fertilisation organique, soit avec une alimentation. Le premier procédé est très répandu dans l'état de Ceara au Brésil, il est plus rémunérateur. Son emploi est tout à fait limité en Côte d'Ivoire car les conditions locales ne sont pas favorables et le second procédé devrait être employé en utilisant des sous-produits agro-industriels.
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