Spécialisation des espaces ou gestion intégrée des massifs forestiers ? L'exemple de l'Est-Cameroun
DOI :
https://doi.org/10.19182/bft1997.251.a19931Mots-clés
Ressource forestière, Gestion des ressources, Population rurale, Développement rural, Legislation, Utilisation des terres, Gestion foncière, Propriété foncièreRésumé
Cet article aborde le problème de l'intégration des populations locales dans la gestion des ressources forestières à partir de droits qu'elles exercent, ou aspirent à exercer, sur des ressources naturelles dispersées dans les massifs forestiers en Afrique francophone. En forêt, et particulièrement en forêt dense humide, cette question soulève parfois de nombreux problèmes dus aux législations qui font du droit forestier un « droit de l'État », et des politiques de gestion du territoire visant à spécialiser et séparer les espaces aux fins « d'aménagement rationnel ». Une approche de gestion intégrée doit s'efforcer, quant à elle, de concilier et d'organiser des usages différents d'un même écosystème plutôt que de miser sur la spécialisation et le cloisonnement des espaces.
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© CIRAD - Bois et Forêts des Tropiques 1997

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