Les plantations artificielles d'Okoumé au Gabon
DOI :
https://doi.org/10.19182/bft1960.73.a18777Mots-clés
Régénération artificielle, Aucoumea klaineana, Écorce, Couvert, Défrichement, Plantation forestière, Germination, Entretien, Graine, Culture séquentielle, Régime sylvicole, sylviculture, Espacement, Mode de culture, Préparation du site, Plantation industrielle, Forêt enrichie, Méthode de plantation, Annélation, Essai sylvicole, Eclaircie forestiere, Inventaire, Afrique centrale, GabonRésumé
Le commerce de l'Okoumé représente 80 % de la vie économique du Gabon mais son avenir est compromis par l'épuisement des forêts naturelles d'Okoumé. Ceci impose la création de quelques 120.000 hectares de plantations artificielles au rythme de 2.000 hectares par an. Des recherches et des essais sont menés depuis 1935 pour déterminer les meilleures méthodes de plantation. Le problème semble avoir été résolu et le rythme de plantation a atteint 1.300 hectares par an. Après avoir retracé l'historique de ces recherches, l'auteur décrit la technique actuellement utilisée.
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