Influence de l'ouverture du port d'Abidjan sur le commerce extérieur des bois de la Côte-d'Ivoire
DOI :
https://doi.org/10.19182/bft1951.19.a18436Mots-clés
Économie, Exportation, Débit, Manutention, Port, Commerce international, Coût de production, Stockage, Bois, Rendement, Transport par eau, économie forestière, Bois tropical, Côte d'Ivoire, Afrique occidentaleRésumé
Le chargement des grumes exportées depuis la Côte d'Ivoire à bord de bateaux à vapeur était jusqu'à présent entravé par les vagues qui déferlaient sur la plage. Il fallait utiliser des quais dont la capacité de chargement était insuffisante ou transporter chaque grume séparément à bord du navire à l'aide d'un treuil à câble. Les navires perdaient souvent un temps précieux à attendre leur cargaison de bois et de nombreuses grumes tombaient à la mer ou étaient endommagées par leur exposition à terre.
Un canal vient de relier la mer à la lagune d'Abidjan, profonde de 30 pieds, où peuvent entrer les plus grands bateaux à vapeur faisant escale dans les ports d'Afrique occidentale.
Le port d'Abidjan dispose désormais d'un vaste bassin d'eau calme où de nombreuses cargaisons peuvent être chargées simultanément. Abidjan est située à l'extrémité d'une ligne de chemin de fer et au milieu d'un réseau de lagunes navigables s'étendant parallèlement à la côte sur plus de 250 miles.
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© CIRAD - Bois et Forêts des Tropiques 1951

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