Nature et périodicité des cernes dans les bois rouges de Méliacées africaines
DOI :
https://doi.org/10.19182/bft1977.175.a19310Mots-clés
Âge, Botanique, Croissance, Cerne, Khaya, Lovoa trichilioides, Meliaceae, Méthode, Phénologie, Zone tropicale, Anatomie du bois, Dendrométrie, Cedrela, Défaut du bois, Méthode d'essai, Dendrologie, Bois tropical, Ruban dendromètre, Feuillaison, Entandrophragma angolense, Entandrophragma candollei, Entandrophragma cylindricum, Entandrophragma utile, Guarea cedrata, AfriqueRésumé
53 arbres de 7 espèces de Meliaceae africaines et d'une espèce introduite, dont la croissance a été observée par des bandes dendrométriques, ont reçu un total de 303 marquages annuels permettant d'individualiser autant de couches de croissance dans le bois. Il est impossible de lire les cernes dans l'Acajou et le Dibétou. La lecture est facile dans le Sipo, le Sapelli, le Tiama, le Kosipo et le Bossé, et très facile dans le Cedrela (introduit).
Les principales difficultés de distinction des cernes chez les espèces à rythme annuel bien défini surviennent au cœur et dans les périodes où la croissance de l'arbre a été très lente. Les causes d'erreur dans la détermination de l'âge, telles que les faux cernes et l'absence de cernes, sont peu fréquentes.
Ainsi, à l'exception de l'Acajou et du Dibétou, il est relativement facile d'estimer l'âge de ces arbres avec une très bonne précision et de connaître leur taux de croissance aux différentes périodes de leur vie.
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© CIRAD - Bois et Forêts des Tropiques 1977

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