La coopération forestière française : de 1971 à 1979
DOI :
https://doi.org/10.19182/bft1992.233.a19730Mots-clés
Agropisciculture, Cartographie, Érosion, Plantation forestière, Conservation de l'eau, Coopération internationale, Essai sylvicole, Espece locale, Densité de plantation, Burundi, FranceRésumé
En 1969, la Coopération française marque son intérêt pour la foresterie du Burundi en envoyant dans ce pays la mission UHART, suivie en 1971 par la nomination auprès de l'ISABU* d'un botaniste remarquable G. GUIGONIS.
Celui-ci contribue largement à la description de la flore du Burundi, et c'est sous son impulsion que sont mises en place les premières expérimentations en matière de conservation des sols et de reforestation.
En 1975, un bilan économique du secteur forestier est dressé et plusieurs stations d'essais sont ouvertes, où sont mises au point les techniques de pépinières et de sylviculture. Les résultats, rapidement acquis grâce à ces essais et à l'expérience du C.T.F.T., sont appliqués à des projets de reboisement lancés à la même époque et où les pins et les eucalyptus tiennent une place prépondérante.
Ces projets ont contribué à augmenter la couverture boisée du pays et à améliorer la protection des terres et des massifs menacés. Par leur action en milieu paysan, ils permettent également à chacun de pourvoir à ses propres besoins en bois de chauffage.
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© CIRAD - Bois et Forêts des Tropiques 1992

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