De la Marine royale aux meubles dits « de port » ... ou la « petite » Histoire des bois de Guyane au XVIIIe siècle

Auteurs

Louis J. Malfoy

DOI :

https://doi.org/10.19182/bft1989.220.a19637

Mots-clés


Meuble, Histoire, Construction navale, Transport par eau, Bois precieux, Bois tropical, Utilisation du bois, Ébénisterie

Résumé

Au début du XVIIIe siècle, en 1715, et pour la première fois, des échantillons de bois guyanais « pouvant servir à la construction navale » sont demandés à la France.
En effet, les chênes des forêts françaises ne sont plus en quantité suffisante pour répondre à la demande croissante de la marine royale. Si de nombreux navires furent construits, il y eut aussi de nombreuses épaves... Elles étaient vendues dans les ports de l'Atlantique et le bois sain, ce qui était le cas des bois tropicaux utilisés, était récupéré.
Ce dernier avait alors une nouvelle vie sous la forme de meubles résistants, que l'on appelait meubles « portuaires » et qui sont très appréciés de nos jours.

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Numéro

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ARTICLES SCIENTIFIQUES
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Reçu

2015-07-28

Publié

1989-06-01

Comment citer

Malfoy, L. J. (1989). De la Marine royale aux meubles dits « de port » . ou la « petite » Histoire des bois de Guyane au XVIIIe siècle. BOIS & FORETS DES TROPIQUES, 220(220), 99–104. https://doi.org/10.19182/bft1989.220.a19637

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