Reboisement en Nigeria du Nord
DOI :
https://doi.org/10.19182/bft1964.96.a18918Mots-clés
Adaptation, Biogéographie, Botanique, Consommation, Économie, Plantation forestière, Arbre forestier, bois de chauffage, Mécanisation, Phytoécologie, Introduction de plantes, Pépinière, sylviculture, Sciences du sol, Végétation, Bois, Plante ligneuse, Réserve forestière, Mode de culture, Communauté végétale, Choix des espèces, Méthode d'essai, économie forestière, Plantation industrielle, Inventaire, Méthode de plantation, Essai sylvicole, Pédologie, Nigéria, Afrique occidentaleRésumé
Malgré des réserves forestières non négligeables, l'approvisionnement en bois des habitants des zones urbaines du nord du Nigeria pose un problème difficile. La répartition des forêts ne coïncide pas avec la répartition de la population et il est donc nécessaire de procéder à des plantations. La croissance des espèces locales est lente et il faut avoir recours à des espèces exotiques. L'auteur passe en revue les espèces utilisées jusqu'à présent : Cassia siamea, Callitris, Dalbergia sissoo, Gmelina arborea, Teck et Neem. L'eucalyptus et le pin sont également développés.
Suit une explication des techniques de reboisement utilisées sur le plateau de Jos. L'exploitation des mines d'étain laisse le sol dévasté et stérile. Des essais ont été effectués pour rendre la terre à nouveau cultivable, mais aucune culture réelle n'a été possible. Par contre, le reboisement, notamment en Eucalyptus, a donné d'excellents résultats.
En conclusion, l'auteur aborde les tendances actuelles et futures des études sur le reboisement.
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