Etude sur la forêt de Makak-Nyong (Cameroun)

Essais d'interprétation des résultats obtenus par la méthode d'enrichissement en layons

Auteurs

P. Gouget

DOI :

https://doi.org/10.19182/bft1952.22.a18472

Mots-clés


Adaptation, Plantation, Coût de production, sylviculture, Plante ligneuse, Forêt protégée, Choix des espèces, Inventaire, Forêt enrichie, Cameroun, Afrique centrale

Résumé

La forêt de Makak, située à une centaine de kilomètres de Yaoundé, est devenue une réserve forestière en 1936. Depuis lors, des travaux d'enrichissement presque ininterrompus ont été réalisés par le biais de pistes.
Il nous a semblé intéressant d'examiner les résultats de cette longue expérience et d'essayer d'en tirer des conclusions.
Cette étude a pu être réalisée grâce à un minutieux travail de contrôle et de dépouillement des archives effectué par M. COLLET, inspecteur des forêts et des cours d'eau à Eseka.

Téléchargements

Les données relatives au téléchargement ne sont pas encore disponibles.

Téléchargements

Numéro

Rubrique

ARTICLES SCIENTIFIQUES
Métriques
Vues/Téléchargements
  • Résumé
    139
  • PDF
    6

Reçu

2015-07-28

Publié

1952-04-01

Comment citer

Gouget, P. (1952). Etude sur la forêt de Makak-Nyong (Cameroun): Essais d’interprétation des résultats obtenus par la méthode d’enrichissement en layons. BOIS & FORETS DES TROPIQUES, 22(22), 87–95. https://doi.org/10.19182/bft1952.22.a18472