La relation entre la gestion des petites exploitations en Haïti et les maladies caprines et bovines
DOI :
https://doi.org/10.19182/remvt.9395Mots-clés
Bovin, Caprin, Résistance aux maladies, Conduite d'élevage, Alimentation des animaux, Carence minérale, Performance de reproduction, Gain de poids, Croissance, Variation saisonnière, Méthode d'élevage, HaïtiRésumé
Une étude de 40 semaines a porté sur 43 fermes, 60 chèvres et 60 bovins, afin d'identifier des conditions anormales ou des maladies, et les facteurs prédisposants saisonniers, liés à la gestion ou nutritionnels. Les exploitations ont été visitées 4 fois, approximativement toutes les 10 semaines, les fermiers questionnés, les animaux examinés et leur sang prélevé pour l'hématocrite, le nombre total de leucocytes et le taux de certains vitamines et minéraux dans le sérum. Des déficiences sérieuses en phophore ont été mises en évidence dans le sol, le fourrage et chez les animaux, et des déficiences moindres en vitamines E et A. Une anémie présumée d'origine parasitaire, était un signe clinique fréquent chez les chèvres et les bovins. Les maladies infectieuses et le parasitisme externe et interne étaient partiellement limités par l'isolement des animaux, leurs mouvements et leur maintien à l'attache, rarement par des médicaments. Le système actuel de gestion des petites exploitations en Haïti réussit à prévenir des maladies graves, mais n'est pas efficace pour des maladies mineures, la reproduction et la croissance.
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© H.P.Veit et al., publié par CIRAD 1993

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