Intérêt d'un traitement antiparasitaire contre les strongles et les coccidies à l'agnelage de la brebis Djallonké
DOI :
https://doi.org/10.19182/remvt.9533Mots-clés
Ovin, Brebis, Anthelminthique, Thérapeutique, Intervalle entre parturition, Performance de reproduction, BéninRésumé
Trois lots de 14 brebis Djallonké ont été comparés : l'un (lot E) avec un traitement antiparasitaire à la mise bas avec de l'Ivomec® ou du Valbazen® et de l'Amprol®, l'autre (lot T2) avec trois traitements antiparasitaires classiques avec les mêmes médicaments en fonction des saisons (au début et à la fin de la grande saison des pluies et à la fin de la petite saison des pluies) et le dernier (lot T1) n'a pas bénéficié de traitement antiparasitaire. La reprise de l'activité sexuelle a eu lieu 71,5 ± 5,4 jours (lot E), 74,5 ± 6,3 j (lot T2) et 104,3 ± 10,3 j (lot T1) après la mise bas. Ainsi, les intervalles entre mises bas ont été de 255,7 ± 11,8 j (lot E), 245,9 ± 13,5 j (lot T2) et 298,2 ± 24 j (lot T1). Les autres paramètres de l'agnelage sont sensiblement les mêmes dans les trois lots, légèrement meilleurs dans le lot E : prolificité 127-137 %, poids à la naissance 1,2-1,4 kg, gain moyen quotidien (0-90 j) 99-114 g et mortalité 39-48 %. Il pourrait être donc plus rentable économiquement de traiter les brebis contre les parasites internes une seule fois au moment de la mise bas plutôt que trois fois selon les saisons.
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© S.Hounzangbe-Adote et al., publié par CIRAD 1996
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