Quelques recherches fondamentales sur le virus bovipestique. II l'hémaglutinine bovipestique. Relations antigéniques des virus pestiques et morbilleux
DOI :
https://doi.org/10.19182/remvt.7595Mots-clés
Peste bovine, Épreuve d'hémagglutination, Immunologie, Morbillivirus, Propriété physicochimique, Antigène, TchadRésumé
Les auteurs ont mis en évidence l'existence d'une hémagglutinine du virus bovipestique. Ils précisent quelques conditions de son obtention, étudient quelques-unes de ses propriétés physico-chimiques et indiquent que les hématies du singe Erythrocebus patas sont les plus sensibles à son action. A côté de l'hémagglutinine paraît exister un autre antigène qui se fixe lui aussi sur les globules rouges de singe mais n'est pas hémagglutinant. Les cultures cellulaires infectées ne présentent pas le phénomène de l'hémadsorption. L'hémagglutinine pestique n'est pas assimilable aux constituants du précipitogène. L'un des antigènes de ce dernier (antigène thermolabile et inactivé par l'éther) précipite avec un sérum antimorbilleux; la ligne de précipitation est différente de celle que donne l'hémagglutinine morbilleuse avec ce même sérum. Il semblerait que ce soit par leurs nucléocapsides et non par leurs hémagglutinines que les deux virus entretiennent des communautés antigéniquesTéléchargements
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© A.Provost et al., publié par CIRAD 1968
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