Variabilité parmi des allozymes présents dans des populations espagnoles de Ceratitis capitata
DOI :
https://doi.org/10.1051/fruits:2004017Mots-clés
CERATITIS CAPITATA, ELECTROPHORESE, VARIATION GENETIQUE, ALLOZYME, CULTURE FRUITIERE, TEPHRITIDAE, INSECTE DEPREDATEUR DES FRUITS, STRUCTURE DE LA POPULATIONCouverture
ESPAGNE
Sujets
H10 - Ravageurs des plantes
F30 - Génétique et amélioration des plantes
F30 - Génétique et amélioration des plantes
Résumé
C. capitata, Tephritidae, est l'un des principaux ravageurs des cultures. Pour l'éradiquer de façon efficace, il est nécessaire de disposer autant que faire se peut d'informations génétiques. Pour cela, il est essentiel de connaître la variation génétique existant dans les zones qui ont été importantes pour l'expansion de l'espèce, comme l'est la péninsule ibérienne. Le but de notre étude a été de déterminer la structure génétique de certaines populations de C. capitata espagnoles et les relations existant entre elles. Nous avons étudié la variabilité génétique de neuf populations de C. capitata (huit échantillons sauvages prélevés soit sur figues, soit sur pêches, et une souche de laboratoire) par électrophorèse horizontale sur gel d'amidon et analyse de quinze loci d'enzymes de codage choisis au hasard. La variabilité détectée dans cette espèce polyphage a été faible. Parmi les 15 loci étudiés, seuls quatre se sont révélés clairement polymorphes. Aucune différence significative n'a été trouvée parmi les populations de C. capitata prélevés sur les différentes plantes hôtes. Le type de distribution de cette variation semble le résultat de flux de gènes et de sélection imputables à des pratiques agricoles.Téléchargements
Publié
2004-01-01
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