Physiologie de la nutrition des bananiers en culture in vitro et en phase d'endurcissement

Auteurs

    Jean Marchal
    CIRAD-IRFA

Mots-clés


BANANE, CULTURE IN VITRO, MILIEU DE CULTURE, COMPOSITION CHIMIQUE, CROISSANCE, DEVELOPPEMENT BIOLOGIQUE, PHYSIOLOGIE APRES RECOLTE, NUTRITION DES PLANTES, FACTEUR DU MILIEU, SUCRES, AMIDON, SUBSTANCE NUTRITIVE, MICROCLIMAT, SEVRAGE, DURCISSEMENT, FERTILISATION

Couverture

GUADELOUPE

Sujets

F61 - Physiologie végétale - Nutrition

Résumé

Les pertes en saccharose sont dues à une hydrolyse liée à une forte acidification du milieu de culture Murashige et Skoog (M.S.) et à une absorption par le vitroplant. Des apports de fructose et de fructose + glucose agissent positivement sur le taux d'accroissement du vitroplant. Le paramètre énergie lumineuse est important pour l'accroissement du taux d'amidon. Le milieu M.S. s'épuise en P après un mois et, pour 85%, de N et K. La forme ammoniacale de N est plus consommée que la forme nitrique. Les besoins nutritionnels en phase d'endurcissement sont mal connus. On utilise des solutions nutritives commerciales; des engrais à libération lente seraient intéressants. On doit prendre garde aux toxicités manganiques sur des terres désinfectées par la chaleur. La nutrition en phase d'endurcissement demande des études

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Publié

1990-01-01

Numéro

Rubrique

Articles