Utilisation agronomique des vitroplants de bananier

Auteurs

    M. Kwa
    Jacky Ganry
    IRA

Mots-clés


BANANE, VITROPLANT, PRATIQUE CULTURALE, MATERIEL DE PLANTATION, RESISTANCE AUX MALADIES, VIROSE, CUCUMOVIRUS MOSAIQUE DU CONCOMBRE, VECTEUR DE MALADIE, TRANSMISSION DES MALADIES, APHIDIDAE, APHIS, SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE, PRECOCITE, POIDS, FRUITS, QUALITE, HAUTEUR, ECONOMIE, COUT DE PRODUCTION, RENDEMENT, PESTICIDE, REJET

Couverture

COTE D'IVOIRE, EGYPTE, CAMEROUN, MARTINIQUE, GUADELOUPE

Sujets

F02 - Multiplication végétative des plantes

Résumé

Le plant issu de culture in vitro du bananier présente une grande vigueur de reprise, avec des taux élevés (96 à 100%) observables 4 à 7 jours après plantation. Les techniques doivent être adaptées : apports fractionnés d'azote, aspersion légère, précautions accrues dans l'usage des herbicides. Le vitroplant est très sensible à l'infestation par la Mosaïque du concombre, par un processus encore mal défini (vecteurs?). Le potentiel agronomique est plus élevé que celui du matériel végétal traditionnel (12% en plus de poids exportable, Côte d'Ivoire); les caractéristiques des fruits sont meilleures (dimensions) mais également la précocité et l'homogénéité. Les taux de bananiers "variants" (non conformes au type) sont en général de 0,5 à 1%, mais parfois plus. Quelquefois l'inhibition des rejets au premier cycle apparaît; elle peut être due à un concours de circonstances et disparaître. Sur sol assaini de parasites, l'utilisation des vitroplants présente des avantages importants

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Publié

1990-01-01

Numéro

Rubrique

Articles