Logiques paysannes et reboisement : le cas d'Andohavary sur les hautes terres de Madagascar
Mots-clés
PROJET DE DEVELOPPEMENT, AMENAGEMENT FORESTIER, PLANTATION FORESTIERE, DROIT D'USAGE, UTILISATION DES TERRES, PRODUCTION DU BOIS, REGION D'ALTITUDE, ENVIRONNEMENT SOCIOECONOMIQUECouverture
MADAGASCAR
Sujets
E11 - Économie et politique foncières
K10 - Production forestière
K10 - Production forestière
Résumé
La compréhension des contraintes sociales et matérielles, ainsi que la réflexion sur les logiques suivies par les villageois constituent deux éléments importants pour définir un programme de développement rural intégré. Les données sur lesquelles se base l'article ont été recueillies par des interviews réalisés dans un village. Elles montrent que la participation au reboisement a été principalement motivée par l'envie d'accéder à la propriété foncière et de produire du bois. Les paysans perçoivent la plantation d'arbres dans une optique à long terme (ils pensent que ce sont leurs enfants qui bénéficieront du bois) d'autosubsistance (elle permettra d'éviter les dépenses). Ils disent que la plantation d'arbres, conçue comme complément à l'agriculture à laquelle les meilleurs sols sont attribués, pourra leur rapporter gros. Les paysans pensent le reboisement d'un point de vue déterminé par leur situation fondamentale culturelle, socio-économique et écologiqueTéléchargements
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Publié
1995-01-01
Comment citer
Pleines, T., Schmithüsen, F., Sorg, J.-P., Ecole polytechnique fédérale de Zurich, & CIRAD-SAR. (1995). Logiques paysannes et reboisement : le cas d’Andohavary sur les hautes terres de Madagascar. Les Cahiers De La Recherche Développement, (42), 62–76. Consulté à l’adresse https://revues.cirad.fr/index.php/crd/article/view/36713
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