La cysticercose bovine en République du Tchad : quelques réflexions sur la situation présente, l'étiologie, le diagnostic, l'immunité et le traitement de cette zoonose
DOI :
https://doi.org/10.19182/remvt.7316Mots-clés
Veau, Taenia saginata, Bovin, Cysticercose, Zoonose, Infestation, Diagnostic, Immunité, Anthelminthique, Influence de l'age, TchadRésumé
En République du Tchad, la Cysticercose bovine frappe environ 2 p. 100 des veaux de lait abattus. Le taux d'infestation des bouvillons a considérablement augmenté, passant de 16 p. 100, 1957 à plus de 32 p. 100, 1961-63. 8 à 12 p. 100 des adultes sont porteurs de vésicules. L'infestation se fait par les anneaux et les oufs expulsés via l'eau d'abreuvement. Le diagnostic ante mortem de la Cysticercose est aléatoire. Il peut y avoir immunité après une première contamination voire immunité naturelle. Les cysticerques peuvent survivre plusieurs années dans les muscles de leur hôte. Il semble y avoir en Afrique, 2 types de cysticercose bovine dépendant des facteurs humains et climatiques locauxTéléchargements
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© M.Graber et al., publié par CIRAD 1964
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